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#HERTZ BUSINESS AVEC AIR ZERMATT AG


Davantage de moyens pour la flotte qui compte vraiment

Le nom même de Air Zermatt AG révèle le rôle secondaire qu’occupent les voitures dans l’activité quotidienne de l’entreprise. Si celles-ci sont certes bel et bien nécessaires, la flotte qui est largement plus importante possède des rotors et non des roues. Parce qu’en matière de coûts, les hélicoptères se situent à un tout autre niveau, l’entreprise valaisanne traditionnelle ne veut pas immobiliser inutilement de capitaux pour une flotte sur roues et souhaite avant tout que celle-ci reste aussi flexible que possible. Alors la solution, c’est l’abonnement automobile.

Lorsqu’un hélicoptère d’Air Zermatt AG quitte l’un de ses trois héliports dans le Valais, c’est parfois une question de vie ou de mort. En effet, l’entreprise a déjà sauvé la vie de nombreux skieurs et alpinistes accidentés, et leur nombre augmente chaque année. Heureusement, sur les quelque 2000 sauvetages en hélicoptère par an, il n’y a pas toujours des vies en jeu ; par rapport au nombre total de vols effectués par Air Zermatt, le pourcentage est même relativement faible. La majorité – environ 75 % – consiste en des interventions purement commerciales pour le transport ou les vols touristiques, 5 % supplémentaires sont consacrés à la formation initiale et continue. Ces secteurs constituent pour ainsi dire l’épine dorsale financière des sauvetages.

Air Zermatt AG est avant tout une entreprise privée, qui comme toute autre société, devrait gagner plus d’argent qu’elle n’en dépense. Ce qui serait impossible avec les seuls vols de sauvetage. Au contraire : « Ce secteur d’activité est même déficitaire. Et c’est bien ainsi, car en fin de compte le but des vols de sauvetage n’est pas de gagner de l’argent, mais avant tout de sauver des vies », souligne Gerold Biner, PDG de longue date et également l’un des 14 pilotes que compte actuellement Air Zermatt. Gerold Biner comprend parfaitement qu’Air Zermatt soit parfois critiquée sur la place publique parce qu’elle commercialise à ce point l’utilisation de sa flotte. « D’une certaine manière, nos hélicoptères sont perçus comme des ambulances volantes. Et les ambulances sur roues, on ne les utilise pas pour des excursions ni pour des activités de transport », résume-t-il avant d’ajouter qu’une flotte d’hélicoptères représente un coût immense – et pas uniquement à l’acquisition.

Gerold Biner, CEO d'Air Zermatt AG

Une heure de vol, c’est quatre heures de mécanique

 

 

Comme pour un véhicule, le prix d’acquisition (qui se situe dans une fourchette à 7 chiffres pour un hélicoptère) ne représente qu’une partie des coûts effectifs. En effet, pour son fonctionnement et son entretien, d’importantes sommes doivent encore être déboursées. Mais dans le cas d’un hélicoptère, il s’agit d’un tout autre ordre de grandeur. Par exemple pour un vol d’une heure en hélicoptère, il faut compter quatre heures de mécanique en moyenne. Les hélicoptères sont des appareils high-tech complexes qui doivent toujours être en parfait état. Et cela coûte cher. Très cher même. Et comme pour faire voler un hélicoptère, il faut aussi des pilotes, du carburant, une direction d’intervention et bien plus encore, on comprend vite pourquoi de tels vols sont onéreux et pourquoi ces engins volants doivent être exploités au maximum par leur propriétaire. Sans oublier les quelque 75 salariés permanents d’Air Zermatt à qui le salaire doit être versé régulièrement – qu’il y ait beaucoup ou peu d’opérations de sauvetages à réaliser.

Ce qui est économiquement défendable dans le cas des hélicoptères avec une exploitation optimale, n’aurait bien évidemment aucun sens pour les voitures. Imaginons qu’une voiture devrait passer quatre heures au garage pour pouvoir rouler une heure. Il y a fort à parier que plus aucune entreprise n’exploiterait sa propre flotte. Des arguments beaucoup moins convaincants suffisent à dissuader Air Zermatt AG d’acheter ses propres voitures de tourisme. « Etant donné que nos hélicoptères absorbent une grande partie de nos moyens, nous avons bien sûr à cœur de ne pas engager de capitaux supplémentaires dans d’autres secteurs », explique Gerold Biner. Voici comment cela se traduit, en chiffres : Air Zermatt possède 13 hélicoptères, mais pas une seule voiture. L’entreprise gère quelques véhicules utilitaires légers pour les transports de matériel, mais préfère en revanche renoncer à posséder ses propres voitures. Afin que la direction et les collaborateurs puissent quand même être véhiculés de manière adéquate pour les trajets reliant les bases de Zermatt, Raron et Gampel, Air Zermatt a souscrit un abonnement chez Hertz Suisse pour onze véhicules, sachant que leur nombre varie étant donné qu’il est possible de les restituer en toute flexibilité après seulement 30 jours d’abonnement.

La flotte variable proposée sur abonnement comprend exclusivement des modèles de Volvo, ce qui n’est pas un hasard. En effet, Air Zermatt entretient un partenariat de longue date avec la marque suédoise haut de gamme. Comme d’ailleurs avec Hertz Suisse. En effet, la compagnie d’hélicoptères a même baptisé le vol panoramique vers le massif mondialement connu de l’Eiger, du Mönch et de la Jungfrau ainsi que vers le glacier d’Aletsch d’après le nom de la société de location de véhicules et propose donc le « Hertz Prestige Collection Flight » au départ de Zermatt pour des groupes pouvant comprendre jusqu’à cinq personnes. C’est ce type de vol panoramique que vous pouvez actuellement remporter dans le cadre de notre jeu-concours !

 

 

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